La mi-août, maintenant arrivée, l’équipe de l’ACEF reprend ses activités pendant que petits et grands se préparent à retourner sur les bancs d'école. Bien sûr, le retour en classe peut représenter une dépense importante pour plusieurs d'entre nous. Essayons donc de nous concentrer sur le positif.
L'éducation, ce n’est pas simplement des compétences pour remplir un bulletin. C’est aussi donner la chance à chacun d'avoir les outils pour sortir activement de la pauvreté. Si vous croyez que seules les hautes études aident à se sortir de la pauvreté, détrompez-vous. Même l'éducation populaire, que vous retrouvez dans nos ateliers, fait partie de la liste de solutions à la pauvreté. Notre société a besoin de personnes avec différents diplômes et différentes compétences pour fonctionner.
En avançant dans le parcours scolaire, tous les étudiants travaillent aussi le côté social. Ce n’est pas pour rien qu'on insiste sur ces compétences dès le préscolaire. Les habiletés sociales apprises à l’école suivent les étudiants tout au long de leur vie et aident à préparer les citoyens de demain.
La confiance en soi est aussi directement liée à l’école. En s’impliquant au niveau sportif ou académique, les étudiants reconnaissent ce qu’ils sont capables d’accomplir, augmentant ainsi leur confiance en soi. Cet atout majeur pourra les aider tout au long de leur parcours scolaire, mais aussi dans la vie à l’extérieur de l’école.
De plus, pratiquer un métier qui nous passionne est une richesse incroyable. Comme l’aurait dit le célèbre Confucius : "Choisissez un travail que vous aimez et vous n'aurez pas à travailler un seul jour de votre vie".
Pour terminer, l’éducation des jeunes et moins jeunes ne serait pas ce qu’elle est sans le dévouement des enseignants. Merci de faire une différence dans la vie de nombreuses personnes par votre engagement remarquable.